 - Ce n'est pas la sécurité qui intéresse les services de sécurité en Kabylie. Le seul souci des gendarmes et des policiers est d'entraver la liberté individuelle des citoyens et surtout de les surveiller. À quelques jours du début du mois de jeûne, les services de sécurité ont commencé déjà à sortir leurs griffes contre ceux qui n'observent pas le jeûne en Kabylie, surtout certains commerçants, restaurateurs et gérants de bars et cafés qui ouvrent leurs commerces la journée durant les mois du ramadan.){kind=link}
KABYLIE (TAMURT) – Ce n’est pas la sécurité qui intéresse les services de sécurité en Kabylie. Le seul souci des gendarmes et des policiers est d’entraver la liberté individuelle des citoyens et surtout de les surveiller. À quelques jours du début du mois de jeûne, les services de sécurité ont commencé déjà à sortir leurs griffes contre ceux qui n’observent pas le jeûne en Kabylie, surtout certains commerçants, restaurateurs et gérants de bars et cafés qui ouvrent leurs commerces la journée durant les mois du ramadan.
Apparemment, des gendarmes auraient averti certains d’entre eux dans la localité de Boughni, 50 km au sud de la ville de Tizi Ouzou. » Cette année, ce n’est plus comme avant. Vous aurez affaire à nous si vous osez servir des boissons alcoolisées ou manger durant le mois de ramadan prochain. Vous êtes avertis », aurait déclaré un brigadier de la localité de Draa El Mizane à un gérant de bar de la région.
D’autres menaces ont été aussi proférées par les services de la gendarmerie toujours contre les restaurateurs. Des agissements similaires aux pratiques de la police des mœurs en Iran. Un pays qui inspire les dirigeants algériens. Après la fermeture de toutes les églises en Kabylie, les services de sécurité algériens se préparent à persécuter les non-jeûneurs en Kabylie.
Idir Yatafen