ALGERIE (TAMURT) – Abdelaziz Bouteflika, le général major Ali Ghediri et l’islamiste Abderrezak Makri sont les trois candidats principaux qui tiendront la tête d’affiche lors des élections présidentielles du 18 avril prochain. Il y aura, en outre, quelques candidats qui réussiront aussi à glaner les 60 000 signatures exigées pour que soit validée leur candidature.
Au premier plan, les algériens auront droit à deux « grands » lièvres qui accompagneront et créditeront la candidature de Bouteflika. En arrière plan, il y aura environ cinq « petits lièvres » qui joueront les seconds rôles. Parmi ces derniers on pourrait citer au moins deux personnalités politiques dont la validation de la candidature ne souffre d’aucun doute. Il s’agit de Ali Fawzi Rebaine, président inamovible et éternel du parti « Ahd 54 » ainsi que de Abdelaziz Belaid, président du parti du « Front El Moustaqbal ». Les autres candidats à la candidature comme Nacer, fils de l’ancien président assassiné Mohamed Boudiaf ou encore le très médiatique Rachid Nekkaz pourront bien remettre leurs armes avant la date-buttoir du dépôt des 60 000 signatures. Mais le bal de l’élection présidentielle du 18 avril sera animé principalement par les soutiens de Bouteflika,
le candidat Ali Ghediri (général-major à la retraite) ainsi que de l’islamiste Abderrezak Makri, président du Mouvement de la Société pour la Paix (d’un certain Mahfoud Nahnah). C’est à un tel « choix » cornélien que seront conviés les millions d’algériens le 18 avril prochain. Si dans le cas de Abderrezak Makri, il est clair que ce dernier n’est entré en lice de ces présidentielles qu’après avoir négocié les dividendes d’après-vote, il n’en demeure pas moins que dans le cas de Ali Ghediri, un grand nombre d’observateurs laissent entrevoir que les gens qui sont derrière lui croient vraiment que ce dernier pourrait renverser la vapeur le 18 avril prochain et remporter la victoire.
Ces observateurs justifient leurs pronostics par le fait que Ali Ghediri est activement soutenu par l’homme d’Affaires Issad Rebrab mais bénéficierait également l’appui du général à la retraite Tewfik ainsi que d’un certain nombre de haut officiers de l’ANP en activité ou en retraite dont ceux qui ont été remerciés par le clan de Bouteflika. En tout état de cause, le choix entre Bouteflika, un général et un islamiste ne peut être que vite fait : rester à la maison s’il pleut ou aller en randonnée s’il fait beau.
Tarik Haddouche
Le choix entre général Sissi et présidentMorsi, le model egyptien hante le baath Fln, ce que l’imam bouteflika qui est border-line entre le commandant bouteflika et l’imam de zaouia bouteflika. Deux models chasse-misère, qui en réalité cache le fatalisme des assimilés qui trouvent fatiguant de penser son identité et suivre le flux est rassurant. Ils n’ont jamais cru ni à la culture ni à l’effort, du reste les centaines de milliards$ qu’ils ont détourné ne sont que le fruits de la mainmise sur les sous du peuple. Ils sont du reste le signe du néocolonialisme, toutes les puissances de la chine russie Usa France toutes les puissances soutiennent cette farce. L’islam passe du colonialisme des foutouhates au neo-colonialisme avec les kouliglis, à commencer par benbadis qui offre la paix entre colons islamiqueset colons tout court. Pendant que les assimilationistes Francais disaient algérie Francaise dans l’Egalité en droit et devoir, les colons islamiques s’offrait le statu de bureau arabe où la hiérarchisation est double: les colons blancs sous traitent aux islamistes de la oumma la gestion des douars. Ce que le neo-colonialisme retrace des contrats import/import qui paraphe un contrat de partage entre colon musulmans et colons des multinationales en èchange silence absolut sur les damnés de la terre.