 – La répression du régime algérien se poursuit en Kabylie. Dans la soirée du mercredi 25 janvier, le jeune poète et écrivain kabyle Akli Mouhoubi a été arrêté par des éléments de la BRI près de son domicile familial, à Tala Khaled, dans la commune d’Aokas. Son père vient d’être convoqué par la gendarmerie algérienne, lui demandant d’être muni d’un exemplaire du dernier livre de son fils intitulé "Tadyant n Yidir".){kind=link}
TALA KHALED (TAMURT) – La répression du régime algérien se poursuit en Kabylie. Dans la soirée du mercredi 25 janvier, le jeune poète et écrivain kabyle Akli Mouhoubi a été arrêté par des éléments de la BRI près de son domicile familial, à Tala Khaled, dans la commune d’Aokas. Son père vient d’être convoqué par la gendarmerie algérienne, lui demandant d’être muni d’un exemplaire du dernier livre de son fils intitulé « Tadyant n Yidir ».
Nul n’est épargné par la vague de répression du régime algérien en Kabylie. Leaders et militants politiques, universitaires, journalistes, acteurs associatifs, animateurs de cafés littéraires et simples citoyens, hommes et femmes, sont victimes du rouleau compresseur algérien. Hier soir, l’écrivain et poète Akli Mouhoubi a été interpellé au niveau de son village Tala Khaled, dans la commune côtière d’Aokas, par des éléments de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI), un corps de sécurité algérien qui s’est illustré par ses perquisitions violentes lors des arrestations de militants kabyles.
Akli Mouhoubi écrit en kabyle, sa langue maternelle. Son père vient d’être convoqué par la gendarmerie algérienne, lui demandant d’être muni du dernier livre publié par son fils, intitulé « Tadyant n Yidir ». Surnommé « Matoub d’Aokas » pour l’amour qu’il voue au Rebelle, Akli Mouhoubi est un jeune artiste talentueux. En 2017, il a publié un recueil de contes en kabyle (Timu3ay seg tgemmi Taqbaylit), aux éditions Assirem. Il a également travaillé comme correspondant de presse pour plusieurs journaux publiant des articles en kabyle, comme Tighremt (La Cité) et La Dépêche de Kabylie.
Il écrivait aussi pour plusieurs blogs en langue kabyle. Militant associatif très actif, l’on ignore pour le moment les faits que le régime algérien reproche au poète Akli Mouhoub.
Lyes B.
Normal , les Kabyles sont peureux et silencieux comme des poules mouillées. On finira par disparaitre dans le magma arabo islamique …le silence vaut la soumission et la peur.
Tous les Kabyles éclairés sont dans le collimateur du régime colonial mais attention la conscience politique en Kabylie est très élevée, l’explosion comme d’habitude va venir du bas cad du peuple Kabyle qui cette fois sera fatale pour le régime. Avec toute leur armée, leur force de repression, leur état voyou , le régime en arrêtant à tout va surtout les plus pacifiques montre à quel point il a peur même de son hombre, sa chute est éminente. Bon courage à tous les persécutés et les détenus dans les geôles du pouvoir fasciste.
ar malmi akka nassusem…