Alger, parmi les trois pires villes au monde

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La place des martyrs, Alger
La place des martyrs, Alger

ALGER (TAMURT) – La capitale algérienne, Alger, est classée troisième pire ville au monde où vivre. C’est le magazine anglais et américain, The Econimist, qui a publié la liste annuelle des meilleures et pires villes au monde. Pour cette année et les l’années 2022 et 2021. Alger est juste derrière Damas et Tripoli, des plus pires villes sur la planète.

Pour la capitale Syrienne, Damas est ravagée par plus de dix ans de guerre ce qui rend cette ville presque invivable. Elle est la pire ville au monde. La deuxième pire ville au monde, c’est la capitale Libyenne, à cause toujours d’une guerre civile qui persiste dans ce pays d’Afrique du Nord. Vient ensuite Alger qui est la capitale qui n’a rien d’attirant pour y vivre, pourtant, elle n’est touchée par aucune guerre. Les critères pris en considération, selon The Economist; la vie culturelle, l’éducation, la sécurité, les infrastructures sanitaires et médicales, etc, or Alger est une ville sale.

Ses infrastructures sont délabrées et la corruption touche toutes les institutions de l’Etat. En effet, Alger est une ville invivable. Elle était pourtant élue la ville la plus propre au monde en 1930, à l’époque de la colonisation française. Le manque de civisme de ses habitants est aussi pour beaucoup dans la dégradation du cadre de vie à Alger. Une ville dépourvue même de sanitaires. Une ville insalubre et assourdissante par les haut-parleurs de ses milliers de mosquées dès l’aurore

Une ville qui est aussi un enfer pour les femmes qui sont harcelées à la langueur de journée. Même les quartiers dits huppés ne sont pas dotés de commodités les plus élémentaires. Au fait, elle est à l’image des gens qui dirigent le pays. Ils sont les pires au monde.

Idir Yatafen

8 Commentaires

  1. En effet, nul doute a propos de ce classement. Alger qui fut encore dans les annees 70’s l’une des plus belles ville du monde a perit dans la salete, mediocrite sur tous les plans, degradation des bien immobiliers laisses par les colons francais dont des buildings entier sur le point de tomber en miettes face au manque d’entretien et les coups de boutoirs des tremblements de terre . Impossible de dormir la nuit face aux haut parleurs des mosquees. Impossible de prendre une douche sauf is vous attender 3 heures du matin avec un peu de pression d’eau; dans ce contexte maintenant on a des citernes immenses accrochees aux murs et agre a la structure des murs. Les hopitaux sont des mouroirs, le manque de civisme des gens est legendaire dans cette ville. Mais pour corser le tout c’est l’attitute imbecile des gens qui vous lorgnent et devisagent et cherchent a vous denaturer surtout si vous etes une femme. la circulation est un cauchemar car les rues ne sont pas tracees !!
    Bref un cauchemar de ville

  2. L’habiter, une maison ou quartier est une question de Sans des limites et responsabilités. C’est donc l’âme de ses propres habitants. Dans les pays totalitaires le manque de confiance en les institutions s’ exprime au travers de la dimension collective subie plutôt que vécue. L’Algérie , et ses villes, post coloniales ont en plus de cette rupture de communication horizontale, une fracture transcendantale: celle culturelle. Si en France ou en Europe la médiation entre urbanisation et la vie dans la campagne s’est étalée dans un temps long. En Algérie non seulement on arrive de campagne mais aussi avec la même conception des espaces. Les villes n’ont d’ urbain que le nom. Outre à la mosquée qui codifie les rapports, l’ école ne corrige en rien cette tendance, bien au contraire on assiste au pire, les écoles investies comme leviers de pouvoir, avec l’islamisme comme moyen facile d’ uniformisation au rabais. comme égorger les moutons dans des baignoires! Sans âme une ville meurt. La dimension publique révèle la culture et le type de rapport qui anime les interactions. Sans culture de l’habitat nationale fruit de la culture endogène il ne peut y avoir de progrès. Le symbole de cette barbarie utile au régime, est cette casbah qui renvoie au mode féodale de vivre l’ espace public. C’est à cela que se lient les régimes, sans quoi la culture démocratique dont l’élément moteur est l’ individu, pourrait renverser le paradigme global.

  3. Cette haine viscérale dont certains vouent à l’Algerie biaise leurs regards et ne peuvent voir d’Alger que ce que leur permet leurs sentiments envers ce pays et son peuple. Londres est sale des quartier entiers sont délabrés et délaissé par leurs habitants et l’insécurité y règne non seulement les nuits me les jours aussi. Paris n’est pas mieux lotie et les crimes qui défraient la chroniques par dizaines ne semblent pas attirés l’attention de ceux qui ont fait ce classement et ceux qui l’aprouve en critiquant leur pays et se délectent en aboyant avec la meute. Vous faites pitié rien de plus

    • En effet c’est une vérité , dans certains quartiers de ces grandes villes sont sales car les populations qui y habitent sont toutes issues d’une certaine immigration essentiellement maghrébines à l’image des nouvelles populations d’Alger issues de l’intérieur sans culture citadine ni savoir vivre.
      L’algérien a des problèmes avec la critique des autres vis avis de son pays, il voit toujours des complots pour cacher une réalité malheureuse.
      L’autosatisfaction des algériens est un frein à tout changement .
      Il n’accepte ni la critique objective ni pouvoir se remettre en question.
      Le statuquo c’est la stratégie des incompétents et des irresponsables.
      Les résultats sont là.

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