ALGERIE (Tamurt) – En cette période de polémique sur le BAC et la fraude en Algérie, il serait utile de revenir brièvement sur le niveau scolaire des dirigeants algériens. De tous les chefs qui ont accédé à la présidence aucun d’eux n’a obtenu son BAC.
A commencer par Benbella qui a un niveau de deuxième année secondaire, soit la capacité de maîtriser l’arabe et le Français. Pas plus. Il n’a aucun diplôme. Son successeur, Boukharouba, alias Boumediène, n’a pas eu son BAC, non plus. Il n’a aucune qualification universitaire lui aussi. Chadli, lui, n’a jamais mis ses pied même pas dans un lycée. Même chose pour Ali Kafi. Même Boudiaf n’a pas eu son BAC. Zeroual, quant à lui, on ne connait pas son parcours scolaire ni jamais entendu parler de diplômes qu’il aurait obtenus mais une chose est sûre, il n’a pas eu son BAC.
Pour Bouteflika, certains disent qu’il n’a même pas passé son BAC. A Oujda, au Maroc où sa mère gérait un Hammam, Bouteflika a été recalé d’un concours de recrutement comme agent d’ordre dans la police royale. Il a raté un autre concours à l’âge de 18 ans. Il n’a pas obtenu le concours de recrutement comme facteur passé à la poste de Oujda.
Rien n’empêche il sera ministre et même président de l’Algérie. Ce sont ces gens là qui décident de notre sort depuis 1962. Tous les chefs d’Etat cités, aucun d’eux n’a été élu démocratiquement, aucun d’eux ne maîtrise l’Anglais. Il n y a que Boudiaf qui a pu écrire un livre. Les autres n’ont jamais pu rédiger leurs propres discours ! Par contre, de tous les chefs révolutionnaires, Abane Ramdahne, Hocine Aït Ahmed et Ferhat Abbas étaient les seuls à avoir leur BAC et qui ont, à vrai dire, des compétences requises pour devenir chefs d’Etat.
Cela ne m’étonne en rien, quand nous constatons la faillite de cette république dattiere bédouine,
des chameaux qui abreuvent des (mulets) ces moutons qui servent de sujets à cette nullité intégrale et inculte !!.
Azul,
Tout d’abord, comme l’a écrit quelqu’un, dans cette génération, à part Abane Ramdane qui a eu son bac, les autres, Kabyles ou non (ils étaient tous des bicots pour les colons), Amirouche, Krim Belkacem… n’ont pas fait beaucoup d’études. Ils vivaient, ne l’oublions pas, sous le colonialisme français, et très rares ont été ceux qui ont pu aller à l’école jusqu’au certificat d’études, qui était le diplôme le plus en vogue pour les Algériens. Le bac, c’était pour les colons, enfin, pour ceux qui pouvaient l’avoir, car beaucoup de colons, eux aussi, avaient une instruction limitée.
Ensuite, il y a beaucoup de gens dans le monde qui ont réussi sans le bac, et même sans diplôme. L’ancien ministre français de Mitterrand, Pierre Berégovoy, était un ouvrier avec un CAP ; Zizou (Zidane) n’a pas le bac ; de grands patrons d’entreprise français n’ont pas le bac ; des acteurs (Depardieu, Lucchini, qui ont pourtant joué à la Comédie française) etc.
Il faut s’informer, et ne pas tout de suite sortir les insultes du genre : chameau ; bédouin, etc., comme si c’était une honte d’utiliser des chameaux. Je fais observer que nos Imazighen Touaregs utilisent des chameaux (ou des dromadaires), et qu’ils mènent eux aussi une vie bédouine depuis des siècles. Alors, est-ce une raison pour les insulter en raison de leur mode de vie ? Nos problèmes avec les Arabes (orientaux) n’ont rien à voir avec leur mode de vie ou les animaux qui les entourent, mais sont politiques. Si on ne comprend pas cela, on passera sa vie à insulter les gens sur Internet, mais pour quel résultat ?
Azul
On a rien à envier au pays des self ma de man! Mdr
excelkente synthese moi meme je n’ai pas mon bac et je me porte a merveille.une autodidacte accomplie merci mon frere
A ce propos, que devient chakib khellil?
il a certainement bien plus que le bac, lui!
Oui lui, il a un prix Nobel du voleur plus un doctorat de la poudre d’escampette !..
LE JOUR OÙ L’INTELLIGENCE SERA AU POUVOIR, CE SERA LA FIN DU MONDE.
La fin de ce monde. Mais pas de panique. Un autre monde est déjà en train de naître en Kabylie, dans l’Himalaya, au Tibet, en Alaska, chez les chercheurs infatigables de justice, les marcheurs pour une spiritualité vivante, les travailleurs du développement personnel… On les trouve aussi sur les divans des psy, au sein des associations contre les abattoirs et les corridas, pour une agriculture sans pesticides, sans fongicides et sans tous les sids et les sidis…
Il n’y a pas pas que Ouyahia et les dirigeants algériens sur terre ! Eux, ils sont le visage de la fin de ce monde.
De grâce, parlez-nous plutôt des hommes et des femmes qui nous donnent (encore) envie de croire en l’espèce humaine.
De grâce, parlez-nous des dirigeants qui se respectent et respectent leurs populations. Par exemple, ceux qui démissionnent après les scandales (Panama papiers, crimes sexuels, fraude électorales… )
Parlez-nous des modèles positifs. Par exemple, ce président qui a organisé des séances de « Vérité et réconciliation » en Afrique du Sud – au lieu d’évoquer sans cesse ces présidents de l’Afrique du Nord qui font disparaître ceux qui cherchent leurs disparus, et la vérité sur la décennie noire, le printemps noir, octobre noir, la crise noire de 1947 qui a décimé les militants de la cause berbère…
Avoir le bac n’a jamais été un critère pour présider aux destinées d’un pays, de n’importe quel pays. Assumer une telle fonction exige ( dans l’absolu) des critères d’un autre genre tels que : une prédisposition naturelle à faire de la politique, de la sagesse, du courage, de la sérénité, de la clairvoyance, du patriotisme, des valeurs à défendre, des projets à réaliser, être un visionnaire, un meneur d’Hommes, servir son pays avec désintéressement, s’investir pleinement pour les siens, consentir tous les sacrifices si nécessaire …. A préciser toutefois que ces critères ne concernent aucunement les cas des dictatures et des républiques bananières.
azul, pas pour défendre ces rats des égouts mais le terminal de leurs époques mieux que le doctorat algérien d’aujourd’hui .
Boutflika tout comme l´epinard flno-arabo-islamo baathiste, tous spécialisé du sabotage de l´ecole modérne, pour eu il y a que les soi-disant penseurs en l´occurence iben-badis, elbachire elbrahmi comme exemple à médité´ aprés 62 !Effectivement ce qui s´est jouer, pas par pas, l´arabisation avait pris méthodiquement la proportion la plus importante à tout lesl´èchelon de l´etat algerien mettant ainsi le kabyle parexemple à la marge de cette politique pour devenir l´etat entièrement arabe qui se reconnait dans le monde arabo-islamiste!
Et alors?! Pourquoi ce complexe vis à vis du bac? Et que dire de ces milliers de bacheliers algériens qui ne savent ni lire ni écrire une langue? Alors de grâce parlez-nous d’autres choses de plus intéressants dont souffrent les Présidents algériens.
bonjour diooo – pour le présidet algérien, il y le Val de Grâce – Tu connais l’hôpital ?
Simple logique des choses et quelle belle preuve que de voir l’Algérie d’aujourd’hui ! Tous ces présidents sauf 1 qui d’ailleurs a été purement éliminé parce qu’il ne voulait pas faire comme les autres, n’ont en fait se baser et appliquer les principes d’un arabo-islamisme avec sa démocratie à sens unique, qui comme chacun le sait trouve ses sources dans un livre et un seul: le Coran… et donc à quoi peut bien servir de faire des études secondaires et réussir à un Baccalauréat couronnant ces études, quand tout est écrit dans ce livre considéré en plus comme paroles de Dieu.
Ces hommes c’est des révolutions pour libérer l’Algérie, il avait pas la chance d’aller à l’école car on a été traités comme des indigènes maintenant Vous êtes en train de vous plaindre comme toujours
tu appelle des anciens DAFistes et des planques en Tunisie et Maroc des gens qui ont fait la revolution ??? A din ukavec ! t’es nul mec! les revolutionnaires qui ont liberes l’Algerie tous les monde les connait et aucun de ces gens sur la photo , mis a part Boudiaf n’as participe a quoi que ce soit si ce n’est usurper le pouvoir en 62.
Ils ont fait la révolution pour libérer l’algérie? Ils n’ont peut-être pas eu la chance d’aller à l’école pour obtenir le bac, mais ils ont assassiné celui qui a eu le bac, Abane Ramdane, l’architecte de cette révolution, pour lui usurper le poste de président que personne d’autres ne mérite. Faites pas la lèche pour rien.
A l’appel de l’UGEMA, un certain 19 mai 1956, ces ex-présidents ont quitté les bancs des lycées pour rallier le maquis. Ils ont contribué, corps et âme, dans la libération de leur pays après 130 ans de colonisation française. Par contre, après le recouvrement de l’indépendance, certains jeunes diplômés ont bradé les entreprises nationales économiques et financières aux firmes étrangères.
Tout le monde sait que le colonialisme n’a pas permis aux colonisés de fréquenter l’école pour obtenir des diplômes mais ce qui est visé dans cet article c’est le fait de choisir justement ceux qui n’ont pas le BAC au lieu et place des hommes lettrés à placer au sommet des décisions. Pourquoi en 2016 se plaint-on encore du colonialisme français lorsqu’on voit l’indigence de ceux qui vous gouvernent ? N’ y -t-il pas de gens intelligents, instruits, compétents, pour présider aux destinées de votre peuple algérien ?
Les plus grosse crapules sont les zwawa kabyles qui ce sont battues du côté français! Les évangélistes berberistes doivent le comprendrent !