Chronique Tamuɣli n Da Amar (Tamurt) : Après Montréal et Paris, en attendant New-York le 1er mai prochain, c’était au tour des trois principales villes kabyles, Bougie, Tizi-Wezzu et Tuβirett de montrer au monde entier que la nation kabyle a bel et bien décidé de prendre ses destinées en main.
Malgré les campagnes de dénigrement, les menaces et les arrestations arbitraires menées en Kabylie par les janissaires de l’État algérien et ses vils larbins et Bachaghas locaux, le brave peuple kabyle s’est levé comme un seul homme, en ce 20 avril 2016, pour dire OUI à la République de Kabylie.
N’en déplaise aux fossoyeurs de la vérité, le peuple kabyle n’est pas sorti dans la rue pour « fêter la consécration de tamazight » comme le prétend le Bachagha Ould Ali, ou quémander « tamazight effective » ou toute autre revendication farfelue comme essayent de nous le faire croire ses anciens amis et leur presse poubelle. Le peuple kabyle est sorti à l’appel du MAK, pour affirmer son éternel attachement au testament de Matoub Lwenas (République de Kabylie) et recouvrer sa souveraineté perdue en 1857.
Honte aux journaleux d’El-Watan, de Liberté et de TSA et tous les petits larbins de « la presse » raciste algérienne. N’ayant pas complètement assouvi leur perversion xénophobe, ouvertement anti-kabyle, en menant une campagne tambour battant de « sallissage » contre la famille patriotique kabyle depuis des années, ils continuent, toute honte bue, d’essayer de manipuler la réalité même après la démonstration de force du MAK. Leurs comptes rendus et leurs images « photoshopées » font honte à la noble profession de journaliste.
À l’ère des réseaux sociaux, croire qu’on peut manipuler la jeunesse kabyle par des éditos tendancieux et des reportages grotesques, dignes de la défunte chaîne de télévision « El Djamahiriya » du sinistre Kadhafi, relève tout simplement de l’idiotie.
Les fourberies et les campagnes d’intox de ces renégats du journalisme, ne feront que renforcer l’adhésion pacifique du peuple à son droit à l’autodétermination. Un droit, rappelons le, faisant partie de la Charte des Nations unies.
L’époque du paternalisme hautain et de la folklorisation de notre existence, pour répondre à ce névrosé de Boudjedra, est définitivement révolue.
Désormais, rien ne sera plus comme avant. Les walous (walis), le clown Heddad, les partis kabyles dévoués aux régents d’Alger, les Bachaghas, le Bouffon Sellal ainsi que tous les écrivaillions névrosés doivent tourner mille fois leur langue avant de parler du peuple kabyle et de ses représentants légitimes.
Amar At-Ali-Usliman
Photos de la marche du peuple kabyle
si vraiment cette Algérie est réellement attachée, comme elle le le crie sur tous les toits, au principe des droits des peuples à disposer d’eux même, alors chiche , qu’elle prenne position pour l’autodétermination du peuple kabyle qui vient d’exprimer pacifiquement son désir d’indépendance à la face du monde. Chiche, que tous ces algériens qui semblent soutenir la momie de bouteflika donnent la preuve qu’ils sont pour ce principe
vive la kabylie libre.
vive les amazighs