TIZI-OUZOU (Tamurt) – La nouvelle est tombée tel un couperet ce matin en Kabylie : la nouvelle gare routière de Tizi-Ouzou est baptisée au nom du criminel Boukharouba, alias Houari Boumediene. Tout le monde s’accorde à dire qu’il s’agit de la provocation de trop du régime colonial.
Qui a pris cette décision et que faire maintenant ? Ce sont les deux questions qui revenaient sur toutes les lèvres ce matin à la ville de Tizi-Ouzou. Le mépris du régime d’Alger qui a nargué toute la Kabylie à travers cette décision a provoqué la consternation la plus profonde dans l’âme de chaque Kabyle. Une humiliation que personne n’a senti jusque là. Le wali de Tizi-Ouzou est pointé du doigt, selon des sources de la wilaya. « C’est sa manière de venger et d’insulter les kabyles en général et le MAK en particulier » a laissé entendre un journaliste à Tizi-Ouzou. Les partis du FFS et du RCD aussi sont cités. Les deux partis siègent à l’APW et à l’APC de Tizi-Ouzou et ont leur mot à dire puisque ils sont majoritaires. Le silence des députés de ces deux partis laissent croire qu’ils ont donné leur aval. Une chose est certaine, ils peuvent au moins réagir et dénoncer cette décision s’ils n’ont pas la prérogative de l’annuler.
Contacté à ce sujet, Hocine Azem, proche parent de Slimane Azem, cadre du Congrès Mondial Amazigh et militant souverainiste, n‘a pas caché son indignation. « Je dénonce énergiquement cette opération de dépersonnalisation des symboles et des repères de la Kabylie par des opérations de substitution comme il a toujours été contre la Kabylie pour ancrer l’aliénation arabo-islamique. L’Etat algérien a déjà commis pire contre la Kabylie tant en 1963/65 et en 2001 lors du Printemps noir. Aujourd’hui, il appartient aux kabyles de prendre des initiatives pour se réapproprier leur liberté, leur souveraineté, leur droit à l’autodétermination pour leur propre État afin de réaliser tous les projets de développement et dans tous les domaines. Sinon, l’État algérien a pour mission d’éteindre tous nos symboles, tous nos repères et tout notre projet de société », nous déclara Hocine Azem.
Ravah Amokrane
Si les Kabyles ne réagissent pas à cet énième affront du pouvoir d’Alger cela sonnera le glas de la Kabylie.
Le glas de la Kabylie est sonné depuis longtemps, ce que vous ne savez pas c’est que même les arabophones sont sonné par l’évolution des Kabyles, jadis « guerriers » aujourd’hui « soumis ».
Finalement, les Kabyles, c’est que du bruit pour rien.
Si l’APW et l’Apc de Tizi Wezzou accepte cette forfaiture,ils seront définitivement discréditer de la scène kabyle. Boumediène comme Mouloud Nait Belkacem étaient pour l’éradication de notre langue maternelle,alors pas de lieux publics en leur noms maudits en terre kabyle.
Les premiers pointés du doigt et accusés sont les P/APC de Tizi-ouzou, le P/APW et le directeur des transports. Qu’ils se ressaisissent avant qu’il ne soit trop tard. Je leur dis honte à vous si vous si vous gardez votre silence complice.
Je propose que l’on nomme cette gare Slimane Azem. Peu importe le nom qui est inscrit au fronton, c’est le nom inscrit dans les esprits qui est essentiel.
Lorsque l.on me demandera ou se trouve la gare ferroviaire de Tizi-ouzou, je répondrai que la gare Slimane Azem se trouve a tel endroit.
Je propose donc au peuple Kabyle cet acte de désobéissance civile.
Maleureusement pour toi tu seras oblige de dire gare boumediene moustache errojla !!!
il faut la fondé sur un nom d´un révolutionnaire locale ( Abane , Krim , Amirouche , Mokrani , Soummer , …etc ) sinon comment le régionalisme à commencer de l´Aeroport d´Oran Es Sénia remplacé officiellement par Ahmed Ben Bella , ceux de Tlemcen par Messali mais du jamais vu ( une baptisation d´un héro Kabyle ) ils préfèrent renommer
de nouveau des noms Francais que de se livrer au vrais patriotistes du pays .
Donc le racisme a commencé a bien avant les Kabyles mm les navires de guerre se baptisent aux noms des occupants ou colonialistes Ottomans , Voir ici le compasse a perdu son identité ! cherchant s´identifié par l´illusion et une histoire mensongière .
Tous les noms des araboislamistes « historiques » de même que les caractères en langue arabes devront disparaître des frontispices de tous les bâtiments officiels à l’intérieur de nos frontières dès l’accession à l’indépendance de la Kabylie . Alors qu’ils en profitent tant qu’il est encore temps . Ces ultimes outrages sont leur chant du cygne . Ils peuvent arabiser notre patrie en façade ,mais la Kabylie ne le sera jamais de l’intérieur , au grand jamais !
Tant que le pouvoir a ses larbins en Kabylie il peut oser ce genre de provocation. Il y aura toujours des chanteurs et des politiciens véreux qui vont l’applaudir. Ils disent qu’ils sont contre le régime mais ne trouvent aucun inconvénient à fricoter avec ses vils représentants.
provocation!
Et le premier magistrat de la ville de Tizi Ouzou qui s’est empressé ces derniers jours a se faire une publicité personnelle qu’a t il fait ? et ces zogotos du ffs ,rcd ,des moudjahidines , des fils de chahids qui ne sont là que pour pomper plus l’argent du peuple et ces zogotos qui peuplent les « assemblées » communales et de wilaya ? Ils ne sont là que pour contrecarrer les valeureux militants du mak .
Si ça devait arriver, elle serait débaptisé dès que les choses reviennent à la normale
Vive le MAK! Toutes ces manoeuvres sont de la provocation. Qu’ils continuent dans cette voie et ils signeront notre rejet absolu de tout ce qui leur ressemble! Tous les mafiosi impliqués dans le travail de destruction de l’identité kabyle seront à jamais balayés de notre territoire. Il faudra exiger des gages de loyauté auprès de tout nouvel arrivant dans la Kabylie indépendante pour ne pas subir une nouvelle invasion de barbares comme eux…Langue kabyle obligatoire, écrite et parlée , prénoms kabyles tirés de notre patrimoine historique, destruction de tout ce qui évoquera leur colonialisme politique et religieux, l’effacement de leur existence etc.Vive la Kabylie souveraine! Vive le peuple kabyle: une langue, un territoire, une identité. Nous souffrons de cette promiscuité avec eux, d’autant plus qu’ils se sont emparés de tous les pouvoirs, ces parasites! La mauvaise herbe croît aux dépens de la bonne, c’est bien connu…
La gare Houari BOUMEDIENE ouvrira ses portes très bientôt à Tizi ouzou en présence de nombreux citoyens de la ville. qui ont décidé à leur très grande majorité de baptiser cette gare au nom d un des grands libérateurs de l Algérie. Vive la Kabylie Algérienne et MUSULMANE
Dhazemoum qu’il a libéré Houari Boumediene! L’Algérie a été libérer grâce aux Hommes Kabyles (Abane, Krim, Amirouche, Mohand Oulhadj…) pas par des toursites comme ton Houari. Et pis la gare de Tizi-ouzou ne tardera pas à porter le nom d’un Héro Kabyle, c’est juste une question de temps.
Vive la Kabylie Kabyle et LAÏQUE!
au contraire ce n’est pas une provocation mais une invitation a rejoindre le MAK
je laisse Nourredine Ait Hamouda s’occupait de cette affaire car le seul connecte et contre le systeme dependant de la question a discuter. Celui qui a seuqestre le squellette du martyr Amirouche ne doit pas faire la une sur les murs d’aucune enceinte en Kabylie; je ne parle meme pas des milliers de Kabyles qu’il a assassine et torture.
Peu importe, mais ce pouvoir sait ce qu’il fait et nous lekbayel on fait ce qu’on sait. Eh!oui. Da slimane izem n’tsissa mayifit deryassa nagh wi… Da lounes Matoub …
Cette énième humiliation de la Kabylie n’est certainement pas la dernière du genre ! Il n’y a pas si longtemps que ça, c’était bien l’université de Tizi-Ouzou, qui porte le nom de l’immense Mouloud Mammeri, qui avait fait docteur honoris causa Ahmed Ben Bella dont l’œuvre complète se résume à trois tomes : «Nous sommes arabes, nous sommes arabes, nous sommes arabes.» (Arris Touffan)… Cette ignominie (terme très en vogue ces jours-ci) a eu lieu grâce à la complicité de personnalités bien de chez nous et cela n’avait pas suscité une grande émotion pour ne pas faire allusion à l’inexistence d’opposition !
Entre cet événement et cette nouvelle provocation, le pouvoir maffieux nous a fait avaler tant de couleuvres et nous continuons à subir ses agressions et son mépris! Son idée fixe est de ridiculiser la Kabylie. C’est sa jouissance au sens sexuel du terme et comme tout pervers, il cherchera à assouvir ses besoins animaux en doublant d’atrocités vis-à-vis de sa victime : Il est capable, si nous le laissons faire, de rebaptiser aussi bien nos villages, nos villes-phares (Tizi Wezzu, Bgayet…) que notre pays (la Kabylie).
Il a crevé notre ballon de baudruche et comme il l’avait martelé à Tizi-Ouzou même, lui qui, de loin, nous voyez grands : nous ne sommes que des nains !
Alors qu’en Libye, les Berbères de ce pays s’apprêtent à célébrer l’aniversaire de l’assassinat de Matoub Lounes, en Kabylie on baptise des édifices aux noms de ces énemis, au moment même où les Amazighs de l’Afrique du nord se réveillent et s’organisent pour réaproprier leur domaine culturel, en Algérie on continue dans le déni identitaire.
Si les Kabyles ne prennent pas leur destin en main, le régime colonial d’Alger finira par les anéantir un jour!
Le nom le mieux indiquer pour la baptisation de cette gare est celui de feu BESSAOUD Md Arab , un valeureux officier de la vraie ALN , un des fondateurs authentique du FFS (dans sa réelle opposition),et un militant exemplaire de la cause identitaire BERBÈRE .
Hélas cet énarque de l’éducation de l’école coloniale (directeur d’école dans les années 40) à très tôt rejoint les rands de l’ALN (alors que ses condisciples avaient opter pour la naturalisation française à l’époque), officier de l’ALN (commandant) il a choisis l’opposition à l’indépendance (pendant que d’autres se sont accaparés des bien vacants laissés par la France, pour ensuite transférer leur ‘richesse vers cette France) …
BESSAOUD, lui, à choisis de poursuivre le combat, de la recherche et de la sauvegarde de son origine et de son identité …
Décédé le 12 janvier 2002 (date repère du calendrier Amazigh), il est enterré sur l’une des collines pittoresques de la Kabylie (Akaoudj N’Ath Aïssa Mimoun), sa sépulture rarement visitée, ce digne personnage d’exception ne doit pas tomber dans l’oubli …
Arézki HAMOUDI
La gare ferroviaire de Tizi-uzu et non # khrra alias Boumediene# qui veut rien dire dans tout les cas la plaque sera taguée un jour ou l’autre ou même arrachée
Mais il ya un boulevard en son nom a Tizi et personne ne s’est offusque de cette baptisation. Les kabyles sont devenus passifs comme les autres concitoyens….la passivite est contagieuse. Le nouveau stade sera au nom de Abdelhafid Boussouf et vous trouverez des kabyles qui vont applaudir. Ahlil …
De mon point de vue jamais je n’accepterai la baptisation de la nouvelle gare de tizi-wuzu au nom de ce dictateur et criminels Boumediene qui à fait beaucoup de mal à notre territoires ( la kabylie) , ils faut vraiment sensibiliser la populations de toutes la kabylie et aussi informé la classe politique qui sont les élus et représentants du peuples kabyle aux APW et APN de rebaptisé cette nouvelle gare de tizi-wuzu au nom d’un grand personnage et héros Amazigh et kabyle qui à marquer l’histoire comme ( koseyla , Jugurtha , Massinissa ,Krim Belkacem , Ait Ahmed , colonel Mohand oulhadj , colonel Amirouche ait Hamouda ……………ect) Merci
Pas de panique, il faut mettre en place un référendum et soumettre un vote d’approbation à la population Tizi-Ouziote, et rebaptisé la gare au nom de Neron, Juba, Syphax, Tacfarinas, Massyssil ou encore Jigurtha, ou encore Massinissa, Ouassine, les noms ne manquent pas , en lieu et place du nom du saint patron Boumediene venu de l’Andalousie.
L état ne va pas demander votre aval pour baptiser la gare de tizi ouzou au nom du valeureux H.BOUMEDIENE. C’EST UN territoire Algerien et la puissance de l état s y exerce. Vive la Kabylie Algérienne et MUSULMANE
La Kabylie ne reconnaît pas l’état algérien. Pour le moment l’Algérie exerce son statut d’occupant des territoires Kabyles.
Le jour viendra où la Kabylie s’affranchira de cette puissance coloniale!
Vive la Kabylie Kabyle et LAÏQUE !
Entre accepter un chose souhaitée et une imposition forcée par l’utilisation d’une force qui ne dit pas son nom, c’est une autre paire de manche. La baptisation des lieux et des édifices au nom de je ne sais quoi fait partie de tout un ensemble idéologique qui trouve ses origines très loin dans l’histoire contemporaine de l’Algérie