ALGERIE (Tamurt) – Après avoir cédé aux revendications des élèves, légitimes ou pas légitimes, le département de Nouria Benghebrit n’a pas trouvé mieux pour expliquer ce rétropédalage que la main étrangère.
Un leitmotiv qui trouve toute sa grandeur aux yeux d’un gouvernement algérien en perte de vitesse. C’est par le biais du conseiller au département de Nouria Benghabrit, Chaib Draâ, qui a affirmé dans une déclaration à Ennahar TV que « le ministère de l’Éducation aurait décidé cette prolongation pour préserver la paix et la stabilité du pays contre certaines parties qui tentent d’exploiter et de détourner les revendications légitimes des élèves ». Décidément, le syndrome de la main étrangère est parti pour durer en Algérie, accoutumée à la procrastination et à la prosternation.
Amnay News