PARIS (TAMURT) – Le procès que la veuve Anissa Boumediène a intenté contre le journal Tamurt pour diffamation en France, a eu lieu ce matin au tribunal de Grande Instance de Paris. Les deux parties étaient présentes : le responsable du site Tamurt, Lyazid Abid et l’épouse du pésident Houari Boumediène, Anissa Boumediène, qui réside à Paris depuis plusieurs années.
Le motif de ce procès est la publication par Tamurt d’un article en décembre 2017 qui a parlé de comptes bancaires que l’ancien tyran d’Alger possédait à New York. Notre collègue, Ravah Amokrane, n’avait fait que reprendre des informations déjà publiées par d’autres journaux arabophones. A vrai dire, ce n’était pas une révélation par Tamurt . Devant la 17ème Chambre correctionnelle du Tribunal de Grande Instance de Paris, appelée chambre de la presse, l’avocat de Tamurt, Maître Ahcène Bozetine, a brillament défendu la nullité de la citation délivrée par Madame Anissa BOUMEDIENE au site, à son responsable ainsi qu’au rédacteer de l’article. Le procureur, reprenant les arguments de la défense, a, lui aussi, soutenu la nullité de la citation. L’affaire est mise en délibéré et le jugement sur la nullité de la citation sera rendu le 09 octobre prochain.
Lyazid Abid a été accompagné par plusieurs militants kabyles venus apporter son soutien à la rédaction tamurt.
Nadir S
Bravo à la famille patriotique kabyle d’être venue unie face aux tyrans d’alger
Cette veuve du tyran boukharouba alias bouimedienne a oublié une chose malgré ses défauts, la justice française n’est pas l’injustice algérienne ou l’on sacralise et donne des brevets aux crapules et aux assassins et ou l’on met au cachot des hommes dignes et innocents.
La question reste toujours d’ou vient l’argent de cette anissa boumedienne qui mène une vie de pacha à paris l’une des villes le plus riches au monde?
Le droit français ne pèse pas les parties comme c’ est le cas en Algéristan où les sentences sont à la tête du client!
Cette dame habite dans le 16 ième arrondissement de Paris, le quartier huppé où le mètre carré est le plus cher de France. La question comme posée précédemment, d’où Madame veuve Boukharrouba tire-t-elle ses ressources pour payer, d’autant plus qu’elle n’a jamais exercé une activité connue??? C’ une rentière qui vit sur un matelas de pognon détourné par son criminel de mari.