ALGERIE (Tamurt) – La gent féminine s’apprête à célébrer aujourd’hui la journée internationale de la femme exception faite pour les pays où la religion musulmane s’est imposée comme une doctrine sacrée. C’est le cas, d’ailleurs, de l’Algérie.
Des programmes festifs sont prévus dans plusieurs contrées du pays mais uniquement pour faire croire au monde que la femme est considérée à sa juste valeur en Algérie sinon ce n’est, en réalité, qu’une simple hypocrisie de la gent masculine et des représentants du pouvoir. La femme algérienne est toujours considérée comme un sous-être qui a besoin de deux témoins pour se marier et de l’aval de son paternel pour accepter son futur époux en plus d’être violentée et violée sans que qui que ce soit n’ose intervenir malgré la présence, administrativement, de quelques lois qui la protège.
Même la femme politicienne n’échappe pas à ce statut d’assistée et de soumise. Tout d’abord, elle n’entre dans la vie active de politicienne qu’à la faveur des ses attributs physiques ou du système de quotas imposé par Bouteflika. Ceci confirme son infériorité par rapport à l’homme que le coran, religion des algériens, a hissé bien au dessus de la femme. Alors que l’on ne se voile plus la face en jouant à l’équité des droits entre les deux sexes. La femme reste, dans tous les pays musulmans, un être inférieur à l’homme, 8 mars ou pas.
Amaynut