ALGERIE (Tamurt) – Décidée par le gouvernement algérien, suite à la fraude massive ayant caractérisé la première session, la deuxième session du baccalauréat, qui a démarré dimanche dernier, a été boycottée par des milliers de lycéens.
Dans certaines wilayas d’Algérie, ils étaient des centaines de candidats à avoir déserté les centres d’examen alors que dans d’autres régions, ils ont été tout simplement des milliers, a révélé le secrétaire général de l’un des syndicats de l’enseignement secondaire le plus représentatif, à savoir, le Cnapest. En effet, selon plusieurs responsables du secteur, qui se sont exprimés au lendemain de la première journée de la deuxième session du bac, les candidats étaient tous déprimés suite à l’annonce de la décision prise par le gouvernement d’organiser une autre session de l’examen en annulant la première.
En plus de l’état psychologique des plus lamentables dont lequel se sont retrouvés les lycéens algériens au lendemain de l’annonce la dite décision, il y a lieu de rappeler que d’autres paramètres ont aussi poussé les concernés à renoncer définitivement à cette épreuve, devenue éprouvante. Il s’agit aussi du fait que l’examen décisif en question a été programmé en plein mois de ramadan. Même si les élèves décidaient de ne pas observer le carême, ils n’ont pas où manger car en Algérie, pendant le mois de ramadan, tous les restaurants sont fermés.
En plus, celui qui est surpris en train de manger est exposé aux pires des châtiments. En plus de la menace qui peut provenir des agents des services de sécurité, d’autres simples citoyens n’hésitent pas passer à l’agression physique dans de tels cas. Comme on peut le constater, les lycéens algériens payent les conséquences de bêtises commises par des responsables qui sont incapables d’organiser un examen aussi important que le baccalauréat en dépit des milliards de centimes mobilisés à cet effet.
Lyès Medrati
Quel pays ! Rien ne marche si ce n’est la chaqara comme l’appelle les xorotos . Il faut denoncer ceux qui imposent le ramadan, cette pratique wahabiste d’un autre age sur la Kabylie et toute l’Algerrie.
Ce sont tous les tricheurs. Ils ne peuvent pas avoir le bac honnêtement.
les enseignantes sont devenues des corbeaux noirs. Bravo la mafia arabo-islamiste au pouvoir.. vous avez fait du bon travail.
azul
le probleme ce n est pas l examen en lui meme mais la correction que je craint q_u elle soit baclee(bac lee) a cause de sidna ramadan mois de repos et de bouffe
tanamirt
salam
je pense qu’on devrait supprimer définitivement le Bac en Algérie, les élèves ont étudiés pensant 3 ans au lycée où ils ont été évalués régulièment par des examens éprouvants, pourquoi leurs infligée une autre épreuve traumatisante qui est le BAC qu’on a hérité du système français, prenons l’exemple de l’Amérique du nord où les affectations universitaires se fait sur la base du dossier scolaire (les 3 années du lycée). Berkana men le système français
merci