Alertée par des voix étrangères, la mère du jeune commerçant, visé par le rapt, s’est interposée et l’un des assaillants a ouvert le feu la blessant grièvement. La victime a été transportée d’urgence vers le service des urgences médico-chirurgicales du centre hospitalo-universitaire Nedir Mohamed de Tizi-Ouzou, puis vers Alger. Les villageois rappellent d’ailleurs que « le summum de la barbarie a été atteint lors de la dernière agression au niveau du hameau Azib Ahmed, car arriver à tirer sur une personne âgée avec une arme à feu en plein jour dépasse tout entendement ». Les habitants soulignent qu’ils « se sentent meurtris et blessés dans leur amour-propre et leur dignité et qualifient ce genre d’acte d’ignoble ».
La région d’Ihasnawen est dépourvue de toute couverture sécuritaire alors que la localité est située à quelques encablures seulement du chef-lieu de wilaya. Et dire que ce même chef-lieu de wilaya et totalement bouclé par la police et des dizaines de caméras de surveillance, surveillent, jour et nuit et 24/24 le mouvement des citoyens. Elles sont placées à chaque entrée de la ville.
Mohand T..info
Cherchons dans la quiddité de cette énigme que me posa jadis un sage, lorsqu’il remarqua mon esprit courroucé quant à ces choses exprimées, il me dit ; imagine cet homme qui voit kidnappé sa bien-aimée par des dévergondés qui menacent de l’exécuter si quiconque tentative de la délivrer soit entreprise. Quel dilemme, pour un homme rempli d’amour et d’honneur ! Lorsque tu seras le comportement le plus approprié à adopter quant à cette circonstance, ce jour-là tu seras toi-même digne de tes idées. Je n’ai jamais été à la hauteur de démêler la solution équitable à cette énigme. Entre la vie et l’honneur le hardi choisira l’honneur, mais y a-t-il un honneur à garder lorsqu’on est des morts. Que choisira donc le sage ? Celui en face de moi, refusa absolument de me donner toute réponse, peut-être même, il n’en avait aucune à me donner, où celle qu’il juge équilibrée est inabordable pour les esprits rétrécis que nous sommes. Laissons donc, les dévergondés profiter à leur bon gré de notre bien-aimée, tout de même nous avons la vie. Aïe ! Combien il fait peur le croquemitaine, alors que nous savons tous qu’il n’est qu’une simple invention de nourrices, l’idée de sa véracité nous hanta depuis cette enfance, même à l’approche de la cinquantaine d’âge, elle continue de nous y effaroucher. Croquemitaine lorsqu’on était des enfants, force de çà et de n’importe quoi, maintenant que nous sommes des hommes, alors que l’unique force tangible est la seule qui jaillit du sein de la nature elle-même, la nôtre évidemment. Le moulin n’y est plus, les vents y sont encore, dira le sage. Il certifiera aussi que, l’homme submergé dans les écoulements rapides s’accroche même à un chardon. Hélas, détruire les abus ne sert à rien, lorsque notre vie est tarie de mœurs. Redevenons ressemblants à nos aïeux, nous serions comment libérer notre bien-aimée des mains de ces traîtres. Atheras Amsoune « Les brigues de l’imposture »
Ce con clave va accoucher d’un PET comme toutes les autres précédentes ou a venir initiatives politiques kabyles! Un grand manque de courage, d’imagination, d’intelligence, et de réelle solidarité a conduit les masochistes esclaves kabyles a développer une maladie incurable–la libertophobie (peur de la liberté) !
ikfa wawal!