BOUZEGUENE (Tamurt) – Le torchon brûle entre la coordination des comités de villages de Bouzeguene et le chef de daïra. Dans une déclaration rendue publique, ce jeudi, par la coordination des comités de villages de la daïra de Bouzeguene, cette dernière s’en prend en des termes très virulents au représentant local numéro un du pouvoir algérien, à savoir le chef de daïra.
Des accusations gravissimes sont exprimées par les comités de villages en question à l’encontre du chef de daïra de Bouzeguene. Ce dernier est, en effet, accusé par les concernés, dans leur déclaration dont une copie a été transmise à la presse et au wali, « d’incompétence, et de mépris ». « C’est un provocateur récidiviste », déplorent la coordination des comités de village de la daïra de Bouzeguene. Selon les concernés, « le chef de daira de Bouzeguene a grillé toutes les cartes de son maintien à son poste de responsabilité ». Dans la même déclaration affichée un peu partout dans la région de Bouzeguene, la coordination des comités de villages de la daïra de Bouzeguene déplore l’indifférence dudit chef de daïra « face aux problèmes qui tarabustent la population locale, notamment les pénuries d’eau potable, l’absence de sécurité qui se traduit par la multiplication des disparitions dont les familles et la population sont toujours sans nouvelles de leurs proches, ceci en plus de tous les forfaits commis et qui n’ont jamais été élucidés ».
Pour rappel, un citoyen de Bouzeguene a disparu depuis une quinzaine de jours et jusqu’à ce jeudi soir, on n’est sans aucune nouvelle de lui. L’absence de réaction de la part du chef de daira par rapport à cette affaire, ayant plongé la région dans la tristesse, est aussi à l’origine de la colère des habitants de la localité. « Cette situation, qui a plongé la population dans la tristesse, n’a suscité aucune compassion, ni réaction de l’administrateur qui se complait à observer de loin et à vilipender la coordination des comités de village », dénonce la même coordination dans son communiqué.
Tahar Khellaf
C’est la comédie araboislamocolonial pour importée la gendarmerie colonial araboislamosatanique à la Kabylie
C’est le pouvoir qui est derrière les kidnapinng, les agressions, des assassinats comme a Boujima, ou un citoyen a été assassiné. Vous savez que le régime est contre vous, contre tout ce qui n’est pas arabe. Rappelez vous la constitution de 2016 qui dit même le sol est devenu arabe a cause de l’islam des Arabes chez nous.
Au cours des réunions de travail avec ce Chef (Bachahga) de Daira, les Maires des Communes de cette DAIRA, sont humiliés, insultés et parfois giflés….!!!
Chiche qu’ils temoignent….!!! ma-d-irgazzen.
Si c élus sont méprisés et giflés c des omelettes ils le méritent. Si c’était des hommes c eux qui peuvent renvoyer ce chef de daira. Un maire dans sa commune à les pouvoirs d’un predident de la république car il est élu du peuple.
Le pouvoir algérien, centraliste à ne rien avoir d’algérien, désigne à partir d’Alger les vraies autorités locales – walis et chefs de daira. Même les élus locaux choisis selon les critères algériens n’ont jamais servi que comme faire valoir. De plus, le pouvoir ne prend même pas la peine de choisir ces walis -chefs de dairas parmi les populations concernées ni ne prend ne serait-ce qu’un avis consultatif de autorités traditionnelles.
Voila une des sources de l’arbitraire dans le pays.
La seule solution c’est de rétablir Tajmaat et de faire en sorte que tous les villages de kabylie s’auto-gère, pour cela ne plus payer d’impôt au régime ane-gerien et toutes les décisions concernant les villages doivent prisent par les comités de village.
Les villages et les montagnes comme le Djurdjura sont les derniers rempart à l’arabo islamisme car malheureusement les villes comme Tizi Ouzou sont arabo salafiser.
Prenons notre destin en main femmes et hommes kabyles livrent!
Bien dit. Assumer ses propres institutions: thajmaith, l’ arch amezyan, commune, alemmass, association de comune, amokran le departement.