KABYLIE (Tamurt) – La crise qui secoue de nouveau la Jeunesse sportive de Kabylie (JSK) est des plus inextricables. En deux mois, l’espoir est revenu puis s’est de nouveau envolé. Cette instabilité prouve qu’il y a, dans l’ombre, des forces du mal qui tirent les ficelles.
Le but : empêcher la JSK de sortir la tête de l’eau. En effet, à peine quarante-huit heures après que Hamid Sadmi eut annoncé sa démission suite à des pressions terribles qu’il subit, voilà que l’entraîneur français Jean-Yves chay annonce, à son tour, qu’il jette l’éponge. Chay démissionne à peine vingt-cinq jours après avoir été recruté dans la liesse et l’espoir.
La JSK est dépourvue de président et d’entraineur au moment où l’on s’y attendait le moins. Il est clair que si Chay a accepté de revenir au bercail, c’est par amour au club mais aussi à cause du grand respect qu’il voue à Hamid Sadmi qui restera malgré tout une grande figure des enfants authentiques du club et qui ne l’ont pas trahi.
La JSK est ciblée de toute part par des attaques en sourdine. La manipulation a pignon sur rue quand il s’agit de ce club qui disparaît à petit feu. Il semble bien qu’il y a des groupes d’influence puissants qui sont derrière cette cabale contre un club qui a joué un rôle déterminant dans les années soixante-dix et quatre-vingt dans la lutte identitaire, à l’époque du parti et de la pensée uniques.
Puisque nous sommes retournés aux mêmes pratiques ces dernières années, un club comme la JSK, au summum de la gloire, ne ferait guère le jeu du Pouvoir algérien et de ses relais locaux qui préfèrent sévir sans subit aucune pression ni aucune réaction. Surtout quand des hommes comme Idir et Hand Sadi n’hésitent pas à se compromettre.
Tahar Khellaf
Azul, Chay est un amoureux de la Kabylie, hannachi l’a tellement humilié qu’il lui a retiré clés de l’appartement, portable, véhicule car il était énormément estimé en Kabylie et faisait du bon travail, Sadmi qui avait des responsabilités à ce moment au sein de la Jsk a démissionné par solidarité.
Concernant la reprise de la Jsk, le pouvoir a toujours une avance etun pion à actionner pour avoir la mainmise: dans la nouvelle direction, il y’a des personnes du fln et du pouvoir.
Pourquoi a-t-on coupé les vannes à Sadmi pour réussir le projet avec les italiens?
Pourquoi un roublard comme azlef n’a pas aidé à payer, ne serait-ce qu’un ou deux mois de salaires pour désamorcer la crise avec certains riches actionnaires?
Chérif Mellal, sorti d’on ne sait où, a proposé d’ouvrir le capital et racheter des actions afin d’être le patron de Jsk et on lui a refusé, on préfère juste utiliser son argent.
Les industriels sont nombreux en Kabylie mais personne ne veut s’engager car le pouvoir guette et ils n’ont rien à y gagner malgré le départ du dictateur pion hannachi.
Cette équipe est politisée et on ne veut plus voir çà, idem pour le Mob, finaliste de la caf et vainqueur de la coupe d’algérie mais dont les supporters étaient des montagnes et proches des thèses indépendantistes, ce qui les a condamnés financièrement, arbitralement, juridiquement, administrativement en ligue 2.
Pour le sort de la Jsk, tout dépendra désormais de la nouvelle équipe nationale Kabyle, de sa politisation, de sa médiatisation, de ses résultats ( si on la laisse tranquille), de la foule qu’elle drainera afin de connaître le sort que les tenants du pouvoir accorderont à la Jsk qu’ils se sont accaparés: bizarre que le comité de sauvegarde se soit retiré( Iboud, Abdeslam, Amara, Menad, Fergani,…) depuis la fin de l’été !!!
@Amayas
C’est vrai que l
on a sabote le MOB mais de la a dire que ses supporters sont des montagnards, la vraiment tu deraille. Les supporters du MOB sont ceux de la basse ville de Vgayet et non des montagnards. Au sujet de montagnards, toute l’Algerie est montagnarde et tous les ALgeriens et Algeriennes sont des montagnards!!!
Voila pour la montagne!