L’école algérienne ne se soucie guère de l’avenir des écoliers. Elle les jettent à la rue sans perspective ni orientation.
C’est le cas des élèves des lycées Chihani Bachir d’ Azazga, du lycée des Ouadhias et du technicum d’Iferhounène et du lycée de Tigzirt, qui n’ont jamais refait l’année, mais qui ont été définitivement exclus par les responsables de ces établissements scolaires.
Ils sont d’ailleurs montés au créneau cette semaine pour exiger leur réintégration et leur donner une autre chance, qui est un droit au fait, de refaire l’année.
Par contre, des élèves dont les parent ont, pour ainsi dire, de « l‘appui », sont réintégrés, révèlent les parents d’élèves exclus.
Izem Irath