ALGERIE (TAMURT) – Profitant d’une situation géopolitique internationale propice, le régime algérien inféodé à la Russie de Poutine, a lancé une offensive sans précédent contre la communauté chrétienne en Kabylie. Aussi bien à Vgayet qu’à Tizi Wezzu, les lieux de culte chrétiens, qui existent pour certains depuis plus de vingt ans, se ferment l’un après l’autre. Les responsables des églises quant à eux vivent sous la pression, la menace et au rythme des convocations par la gendarmerie algérienne.
Si la pression internationale permettait à la communauté chrétienne en Kabylie de souffler un peu sous le régime de Bouteflika, ce n’est pas le cas depuis que Chengriha et son pantin Abdelmadjid Teboune sont aux commandes de « La Nouvelle Algérie ». En effet, les chrétiens kabyles sont en proie à une persécution inédite. Celle-ci s’est traduite sur le terrain par la fermeture de leurs lieux de culte, des convocations de responsables chrétiens par la gendarmerie et la police, harcèlement et poursuites judiciaires pour prosélytisme ou pratique de culte autre que musulman sans autorisation.
Une quinzaine d’églises a déjà été fermée dans le seul département de Tizi Wezzi, dont les dernières en date sont celles d’At Atteli, Ouadhia, At Ouacif et Taourirt Mokrane. Près de dix autres églises sont contraintes de fermer dans le département de Vgayet. Ainsi, des milliers de chrétiens kabyles sont privés de lieu de rassemblement pour le culte hebdomadaire. Le régime algérien ne veut aucune visibilité chrétienne en Kabylie. En même temps, il y encourage la construction des mosquées et leur salafisation avec des financements occultes. Fort heureusement, la vigilance des villageois kabyles leur permet de soustraire les assemblées des villages et les moquées de l’emprise des imams salafistes.
Bien que le département d’Etat américain ait placé l’Algérie, en novembre 2022, dans la liste des pays à mettre « sous surveillance » pour non-respect des libertés religieuses, le régime algérien continue sa campagne antichrétienne en Kabylie et ses violations de la liberté de culte. Ce qu’il y lieu de souligner, c’est que la persécution des chrétiens kabyles émane du régime algérien, qui instrumentalise à cet effet l’appareil judiciaire. La société kabyle est tolérante. Les musulmans et les chrétiens kabyles vivent généralement dans la paix et le respect.
Il est utile de rappeler ici que la constitution algérienne stipule que l’Islam est religion d’Etat. Seule une Kabylie indépendante et laïque peut garantir la liberté de culte à tous les croyants quelles que soient leurs convictions religieuses.
Arezki Massi
Le régime algerien ne combat pas l’église chrétienne, il combat l’église ÉVANGÉLIQUE qui comme tout le monde le sait est une église POLITIQUE. C’EST elle qui a fait élire Bolsonaro et Trump. C’est aussi une machine à cash qui fait que ses dirigeants ont des trains de vie non pas d’ecclésiastiques mais de milliardaires qui se déplacent en jet privé. L’église évangélique fonctionne comme une secte et n’a rien à voir avec le Vatican. Les kabyles sont malheureusement manipulés par ces voyous à leur insu.
Permettez-moi de nuancer. Poutine, quand il avait reçu un des faux Berzidan souriant pour dire que son élection était fictive. C’est dire que les pouvoirs sont diamétralement opposés. D’une part, Poutine dont le pays en 90 était à la soupe populaire, aujourd’hui, est l’un des premiers exportateurs de blé. La dictature a siphonné 1000 milliards $ en 20 ans, pour maintenir une caste. Aujourd’hui pas d’eau même quand il neige davantage qu’en Europe.
Une dictature sanguinaire qui veut remplacer les urnes par les haut-parleurs des mosquées, pour s’y couvrir et perpétuer sa mainmise. Ainsi, plus ils choisissent pour nous non seulement la religion et la langue-, moins de crédit auront leurs erronées valeurs de 3e main- ce furent les juifs à avoir codifié les comportements religieux, que les arabes avaient arabisé, et les hilaliens nous les imposer comme vision du monde de substitution.
Ils hissent boumediene le criminel à symbole de leur État arabe et croient nous le faire avaler de force. Dominer par la force un peuple n’a jamais servi pour légitimer un régime.