SOCIÉTÉ (Tamurt) – «Si tu ne connais pas quelqu’un au CHU de Tizi-Ouzou, ce n’est guère la peine de franchir son portail quel que soit ta maladie », conseille une personne âgée hospitalisée au service des urgences du CHU de Tizi-Ouzou. Le malade, un ancien maquisard lors de la guerre de libération nationale qui a connu les geôles et la torture de l’armée Française, est pris en charge sur un matelas jetée à même le sol dans….le couloir des urgences depuis 15 jours !
Il souffre de plusieurs maladies, dont une insuffisance rénale. «On m’a jeté ici et personne ne soucie de moi. Je ne peux même pas aller aux sanitaires tout seul. On a droit à une visite furtive d’un médecin durant la matinée, un changement de la perfusion puis on nous laisse. Par contre, d’autres patients qui ont des connaissances au CHU sont pris en charge convenablement et sont prioritaires pour les soins. Certains médecins et infirmiers n’ont pas d’âme. Ils restent insensibles aux cris stridents des malades. Je ne vous cache pas que je n’ai jamais vu une telle cruauté », dénoncent cet homme âgé.
Le favoritisme dépassé le seuil de la tolérance. Il est flagrant au CHU de Tizi-Ouzou. La situation est désastreuse dans l’ensemble des structures sanitaires à Tizi-Ouzou, mais au CHU de la capitale du Djurdjura c’est une calamité. « Les infirmiers passent leur temps discuter et à draguer les filles qui sont médecine interne, c’est-à-dire étudiantes. La prise en charge des malades est le derniers de leurs soucis », ajouta furieusement l’ancien maquisard. « J’ai réclamé une fois à un médecin de s’occuper de ma maladie, il m’a repondu que je ne suis pas dans un palace ou une clinique privée », regretta presque en pleurant le vieux malade. « Je veux renter et mourir chez moi », gémit le pauvre homme depuis son matelas sale dans un couloir. Les médecins passent sans se rendre même pas compte de sa présence ! « Je préfère la torture atroce des soldats Français que les soins et les comportement de ces médecins » ! fulmine-il.
Moussaoui R
oui c est triste de voir que nos chers medecins ont oublies le serment d hippocrate. le danger oui je dis bien danger, vient de l argent. si t es riche pas de soucis ! t es pauvre c est tout un soucis.
En 1997, nous avons eu une mauvaise experience suite a un accident de voiture grave. un membre de notre famille se retrouve dans cet hopital. quelques jours apres nous cherchons une infirmiere ou aide soignante pour donner le pot a ce malade qui etait immobilise dans ce lit de misere.
quelle est notre surprise de ne trouver personne. alors nous avons essayer de frapper aux portes des bureaux. vous ne me croirez pas, par deux fois, j ouvre et je trouve un couple entrain de se draguer en face a face. j ai hurler j ai pleure, on m a mis dehors.
idem pour les agents qui garde l entree et qui font rentrer des gens en dehors des visites mais pas n importe qui ? par connaissance pardi !! et bien l agent que j ai trouver ce jours là voulait me renvoyer mais il en eu pour ces frais. j ai pousser la porte de toute mes force sur son nez et je suis rentrer en lui disant que s il veut que je sorte il n a qu a faire sortir tout ces gens qu il fait rentrer par maarifa.
je pense que si c est gens lisent votre journal je serais reconnue et c est tant mieux.
Mais le plus chiant c est le jours de la sortie l infirmier de garde est venu me voir en me disant bravo madame je vous tire chapeau bas, vous etes mieux qu un homme.
je pense a ce malade que dieu lui viennent en aide. bon retablissement.
Ces gens ne savez même pas si quoi la médecine! la vrais medecins soigne meme l ennemis
Savez -vous comment est gere ce hopital?c’est le beni aamisme à outrance ou le clan du bachagha Ziri qui impose sa loi
DEPUIS 1962 UN SEUL HOPITAL,normalement dans chaque région il fout une clinique ,pour les mosquée vous êtes des champions , tizi ouzou est saturé par les blocs d’appartements avec des terroristes importer dans d’outre wilaya