TINEBDAR (Tamurt) – Samir TORCHIAT, père de famille, souffre depuis des années d’une cirrhose hépatique, une maladie hautement dangereuse. Il mène une vie très difficile, car son état de santé ne cesse de se dégrader de jour en jour. Les coups de fatigue, les évanouissements en pleine rue et autres désagréments causés par cette maladie incurable sont devenus un lot quotidien pour lui.
Mais comme si cela ne suffisait pas, l’enfant d’Iguer Ammar dans la commune de Tinebdar rencontre des déboires supplémentaires là où il se présente pour demander une assistance médicale. Ne pouvant subvenir à une prise en charge à l’étranger, dont les frais dépasseraient les 100 000 euros, des appels sont lancés à toute âme charitable afin d’aider ce malade pour une prise en charge à l’étranger, notamment une greffe, seule solution pour rendre vie à Samir. Aujourd’hui, ce sont la famille et les proches de Mr Torchiat, père de famille, qui font appel instamment aux bénévoles et âmes charitables à venir en aide en faveur de ce jeune père pour s’en sortir d’une «cirrhose hépatique» nécessitant pour une prise en charge à l’étranger. Sa guérison demande une intervention de transplantation du foie. Étant donné que le foie est la plus grande glande de l’organisme, la cirrhose est souvent derrière le décès de nombreux patients, lesquels ne parviennent pas à avoir une greffe dans les plus brefs délais. Une collecte de fonds est entreprise par des bénévoles et autres associations pour les besoins de la prise en charge de leur ami et frère Samir.
Plusieurs malades continuent de lutter en silence contre les différentes pathologies, espérant des jours meilleurs, sans que le pouvoir algérien ne daigne leur accorder une moindre attention, notamment les malades atteints de la cirrhose hépatique qui ne savent plus à quel saint se vouer. Et devant l’impuissance des parents et des proches, souvent de modestes conditions sociales, c’est le recours à des SOS, des affiches à travers les villes et les médias, en quête de solidarité.
Amnay
Le manque d’hygiene en Kabylie et en Algerie, en general, est deroutant. Les gens se lavent rarement les mains pendant la journee et aller dans un restaurant/gargotte pour manger ou prendre un cafe , revient a jouer a la roulette Russe avec votre sante. Dans les ecoles on apprend aux gosses comment laver les morts mais pas comment se laver leurs mains avant de manger quelque chose .
Ce genre de maladie est due a la contagion par le viruse de l’hepatite de type C, Souvent une oersonne malade qui ne se lave pas les mains peut facilement comtaminer des centaines d’autres personnes. C’est ce qui arrive pour les gens atteints de ce viruse et qui travaille dans la restauration. Le viruse peut sejourner dormant dans le voie ou le pnacreas pendant des annees avant qu’il ne se manifeste pour dans la plupart de cas tuer la personne. Il ya des medicaments contre ce genre de viruse mais je crois que il est limite en fonction de beaucoup de chose. Une greffe de foie dans ce cas ne fait que ajouter quelques annees a la personne car le virus est dans le coin a cote du foie et peut infecter le nouveua organe facilement.
C’est bien de sensibiliser les gens à l’hygiène permanente, mais aujourd’hui le plus urgent est de venir en aide à ce malade.
Le MAK gagnerait en crédibilité s’il avait un fonds alimenté par la diaspora exclusivement destiné à financer ce genre d’actions puisque la secu algérienne ne transfére en Europe que les gens du piston.
Tanemirt.